La soli­darité :

C’est pourquoi la soli­darité fait partie des piliers de notre entre­prise, au même titre que la renta­bilité et la culture d’équipe. Il existe de nombreuses possi­bi­lités pour les entre­prises d’ap­porter une contri­bution précieuse à la société. Ce blog vous montre comment nous nous enga­geons en tant que nevalux AG et ce que nous entendons par la valeur ajoutée mentionnée au début. Et bien entendu, nous vous rensei­gnons également volon­tiers par télé­phone.Contact

Depuis long­temps déjà, nous nous enga­geons, en tant que nevalux AG, pour les personnes d’Europe de l’Est qui ont à peine de quoi vivre. Le fait que nous soyons allés en Moldavie est lié à mon (auteur) lien avec l’or­ga­ni­sation d’aide AVC Suisse, qui est respon­sable du projet. Je suis étonné de voir ce qui s’est déve­loppé avec peu de moyens et beaucoup d’en­ga­gement depuis ma dernière visite en 2019. Un foyer pour enfants et une rési­dence pour personnes âgées et handi­capées ont vu le jour, ainsi qu’un lieu où les enfants reçoivent un repas chaud. Notre participation : 

• Dans la boulan­gerie : depuis neuf ans, entre 500 et 800 pains sont cuits et offerts trois fois par semaine.
• À l’or­phe­linat : des lumi­naires nevalux installés dans diverses pièces.
• En route : distri­bution de colis alimen­taires contenant des produits de base, Du bois de chauffage que nous avons trans­formé nous-mêmes et des pellets fabriqués à partir de résidus végétaux pour nous chauffer.

La joie et la gratitude pour notre aide étaient palpables aussi bien chez les respon­sables sur place que chez la popu­lation. Malgré les barrières linguis­tiques, nous avons fait des rencontres inou­bliables. Nous sommes impres­sionnés de voir à quel point les enfants, les personnes âgées démunies, les personnes handi­capées, mais aussi les villa­geois ont gagné en qualité de vie grâce au projet au cours des dernières années.

• Grâce à la boulan­gerie, les familles n’ont pas seulement leur pain quotidien. Pour les femmes, qui attendent parfois leur tour pendant une heure, la boulan­gerie est aussi un lieu de communion.
• L’al­lè­gement financier est également déter­minant. A titre d’exemple : un stère de bois coûte 100 francs, la rente moyenne est de 110 francs !

L’in­ter­vention a favorisé le travail d’équipe à tous les niveaux et a constitué une expé­rience de formation de la person­nalité pour les parti­ci­pants. Au premier plan, les huit colla­bo­ra­teurs de nevalux qui ont participé à l’in­ter­vention éprouvent une profonde gratitude. 

• « En Moldavie, les gens vivent parfois dans des condi­tions très diffi­ciles. C’est un privilège de vivre dans un pays comme la Suisse, de ne jamais avoir faim et d’avoir un toit sûr au-dessus de la tête ».
• « J’ai été impres­sionné par la gentillesse des gens. Et aussi le fait que je n’ai pas entendu de plaintes ».
• « Avoir un travail et subvenir à ses besoins n’est plus une évidence pour moi depuis que je suis sur le terrain ». 
• « C’était très enri­chissant d’ap­prendre à connaître et à apprécier mes collègues dans un contexte très différent ».

Un nombre incal­cu­lable de projets sociaux en Suisse et à l’étranger ont besoin de soutien, qu’il s’agisse de main d’œuvre et/ou d’argent. En tant que nevalux AG, nous nous sommes déli­bé­rément concentrés sur un projet. Nous ne voulons pas soutenir selon le principe de l’ar­rosoir, mais faire consciemment une diffé­rence marquante à un endroit. De plus, l’im­pulsion pour le projet en Moldavie est venue du personnel. Le lien personnel existe et est entretenu en conséquence. 

Lorsque l’en­ga­gement social de l’en­tre­prise va au-delà du don annuel à un projet d’aide local, il devient un sujet de conver­sation tout au long de l’année.

• Dans l’idéal, la direction informe trois à quatre fois par an de l’avan­cement du projet et implique ainsi les collaborateurs.
• Cela suppose que la « tête de l’en­tre­prise » prenne les devants avec enthou­siasme et montre à ses colla­bo­ra­teurs que la respon­sa­bilité est prise dans des projets sociaux.
• « Faites le bien et parlez-en ! » Il n’est pas néces­saire de lancer une campagne de marketing à grande échelle. Néan­moins, un tel enga­gement a un effet positif sur notre image, qui se répercute à son tour sur le recru­tement de colla­bo­ra­teurs. Et le plus important : celui qui montre le bon exemple fait des émules.
• « Ce n’est qu’une goutte d’eau dans l’océan ». Ce n’est pas vrai ! (3ème effet sur le terrain ->). Nous ne pouvons pas tout faire, mais nous pouvons au moins faire quelque chose ! Osez, cela en vaut la peine !